Recherche et prospectives

Un projet novateur pour améliorer la qualité de l'air dans les établissements scolaires

Le projet V_NAT_DOM a pour objectif d'améliorer le confort d'été des occupants de bâtiments à usage tertiaire et résidentiel, en développant des solutions efficaces sur les plans énergétique, environnemental et économique.

L’objectif principal du projet de recherche FREEVENT était d’instrumenter par des moyens métrologiques sur site des opérations de bâtiment ayant mis en œuvre des solutions de surventilation, et d’analyser les résultats obtenus afin d’en tirer des enseignements pour documenter un guide (…)

La construction de bâtiments confortables, sains et économes en énergie doit concilier l’indispensable performance thermique et l’amélioration de la qualité de l’air intérieur.

Le protocole Promevent propose une méthodologie pour réaliser des diagnostics d’installations de ventilation mécanique résidentielles, qu’il s’agisse de maisons individuelles ou de bâtiments d’habitation collectif.Cette méthodologie comprend :

Le projet PromevenTertiaire vise à améliorer les PROtocoles de MEsures des systèmes de VENTilation des bâtiments Tertiaires, l’objectif étant d’encadrer les contrôles à réception et fiabiliser les mesures sur les installations.

Les travaux de rénovation énergétique dans un logement, comme le remplacement des fenêtres ou l’isolation, influent sur les échanges d’air à travers l'enveloppe du bâtiment.

Le projet PIVAIR porte sur la recherche de deux nouveaux systèmes de ventilation qui répondent simultanément aux sept critères suivants :

Le projet ENTRANS a pour objectif de déterminer l'efficacité des stratégies d'atténuation du transfert des polluants extérieurs (particules fines : PM1, PM2.5, PM10 et polluants chimiques : O3, NOx, SO2, CO, Benzène, COV, etc.) dans les logements situés à proximité de zones

En France, des études récentes confirment que l’exposition chronique aux particules atmosphériques entraîne des risques sanitaires, réduisant l’espérance de vie à 30 ans de 9 à 15 mois dans les zones polluées.